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Psychanalyse à Paris :
à l'écoute et disponible 7 jours sur 7.

psychanalyste paris 16

D’où vient la psychanalyse ?

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On considère que c’est Sigmund Freud qui est à l’origine de la pratique de la psychanalyse (mise en place à la fin du XIXème siècle) en parallèle de son étude de l’inconscient, mais par la suite, plusieurs médecins ou philosophes vont apporter leur pierre à l’édifice comme Jacques Lacan, Françoise Dolto…etc. Par ailleurs, ce que Freud appelait aussi la « cure analytique » avait pour but de traiter et guérir des névroses et autres désordres psychiques. Bien entendu, aujourd’hui, la définition a bien changé et est plus large.

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Un travail sur le long terme entre le psychanalyste et son patient

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La psychanalyse, contrairement à l’hypnose qui est une thérapie brève, est un travail sur le long terme (en général entre 3 mois et 1 an). L’objectif pour le patient (aussi appelé analysé) est de conscientiser des mécanismes inconscients qui régissent sa vie, son quotidien et ses réactions face à différentes situations. Ainsi, la personne en apprend plus sur elle-même et ses modes de fonctionnement. Il est essentiel de définir, dès le premier RDV, les règles de cette psychanalyse, comme un « contrat » * entre le psychanalyste et le patient : la fréquence des séances (le plus souvent une fois par semaine), le tarif (très variable, généralement entre 40€ et 90€), le principe selon lequel l’analyste n’émet aucun jugement sur ce que l’analysé peut exprimer, définir si on peut éventuellement faire intervenir une tierce personne (parent, conjoint…etc.) et définir la durée des séances (le plus souvent entre 30 et 40 min).

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A qui s’adresse une psychanalyse ?

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A tout le monde ! Même aux personnes qui considèrent n’avoir « aucun problème ». Même le psychanalyste lui-même doit avoir un « contrôleur », c’est-à-dire un autre analyste qu’il voit régulièrement pour faire le point sur son propre équilibre psychologique mais surtout pour s’assurer que sa capacité d’analyse reste intacte. Les enfants et adolescents peuvent également être concernés et, dans certains cas, cela peut même être crucial d’intervenir alors qu’ils sont en plein développement et que leur personnalité est en construction. 

Le plus souvent le patient vient en analyse car il fait face à une problématique précise (problèmes au travail, familiaux, sentiment de ne pas être heureux dans sa vie…etc.). On va bien entendu le laisser exprimer sa problématique voire sa souffrance et l’amener à trouver des pistes de solutions. Mais la psychanalyse va au-delà, elle va tenter de décrypter toutes les facettes de la personne (modes de fonctionnement, émotions, tempérament…etc.), même ce qui relève de l’inconscient, mais cela toujours dans le but que le patient se connaisse mieux afin qu’il puisse avoir un meilleur contrôle sur sa vie.  

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Le secret professionnel du psy?

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Le secret professionnel en psychanalyse s’applique avec la même rigueur que le secret médical. Ainsi, le thérapeute ne peut échanger avec une tierce personne sur la situation d’un de ses patients (à moins, par exemple, que cela soit avec son propre analyste mais cela sera toujours de façon anonyme). Cela s’applique également aux parents des enfants mineures. Le thérapeute peut éventuellement les recevoir mais il ne pourra presque rien divulguer sur l’analyse de leur enfant.

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Comment sait-on quand il faut mettre fin à l’analyse ?

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L’analyste comme l’analysé peuvent mettre fin à la psychanalyse à tout moment. Si l’analysé n’a pas à justifier son choix, l’analyste quant à lui expliquera que son patient est arrivé au bout de son chemin d’introspection ou bien qu’il ne perçoive pas comment avancer plus avec lui. Il peut s’agir également d’une règle du « contrat » qui n’a pas été respectée. Par exemple, une personne qui ne viendrait pas à sa séance régulièrement. Par ailleurs, le fait d’être systématiquement en retard ou d’oublier sa séance est un acte manqué qui est loin d’être anodin.

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Comment est formé le psychanalyste ?

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Il n’existe pas de règlementation pour le titre de « psychanalyste » contrairement aux psychologues, psychiatres ou psychothérapeutes. Cependant, un bon professionnel aura effectué une formation initiale solide et surtout il se doit de se former tout au long de sa pratique (conférences, lectures…etc.) et également de faire sa propre psychanalyse avec un confrère / une consœur qui le suivra régulièrement.  

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Comment se déroulent les séances avec moi ?

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Il n’y a aucune généralité ! Au fur et à mesure, s’installe une forme de « rituel » entre l’analyste et l’analysé, toujours conformément au « contrat » discuté lors de la première rencontre. En général en face à face, vous pouvez vous sentir plus à l’aise si je me trouve derrière vous et ainsi vous exprimer de façon plus spontanée : libre à vous de choisir ! Je suis constamment dans une position d’écoute, sans le moindre jugement. Les interventions que je fais par rapport à ce que vous me confiez ont pour objectif principal de vous suggérer de préciser votre pensée, de réfléchir de manière plus détaillée à un élément que vous avez évoqué. Par ailleurs, je reste disponible 7 jours sur 7 par téléphone si vous avez besoin de parler (dans des cas particuliers, l’échange téléphonique ne se substitue pas à une séance dans mon cabinet à Paris 16).

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Est-il possible de suivre une analyse à distance ? 

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Oui, mais ce n’est pas conseillé et personnellement je préfère l’éviter autant que possible. Il peut être important pour le psychanalyste d’observer attentivement les gestes de son patient, sa posture et c’est rarement optimal en vidéo-consultation. De son côté, la personne qui commence son analyse doit nouer une véritable relation de confiance avec son thérapeute et donc le fait d’être séparé par un écran peut représenter un frein à la création de ce lien. Par ailleurs, lors des séances en présentiel au cabinet dans Paris, je mets en œuvre toutes les mesures barrières (gel hydroalcoolique, masques, pièce aérée entre chaque RDV…etc.).

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* Le contrat : cette forme de discipline réciproque est nécessaire pour obtenir de bons résultats car il se peut que, par exemple, une semaine, le patient manque ou annule un RDV : dans ce cas il faudra analyser pourquoi. Car s’il y a une raison « officielle » tout à fait valable, il est aussi possible que la personne ait voulu éviter cet entretien de peur de découvrir ou réaliser quelque chose que son esprit conscient se refuse à accepter (pour des raisons morales par exemple).  

Ancre 1
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